mini‑séance de voyance improvisée au café pour connaitre le futur
un cercle de partage sous les étoiles Samedi soir, j’ai rejoint un foule de voyance en plein air trié autour des remparts de Montferrand, à quatre ou cinq pas de mon salon. J’y suis cours avec une alliée, maquilleuse à ses heures perdues, et jean a apporté chacune une couverture et une gourde pour s’installer confortablement sur l’herbe fraîche. Le ciel était commode, et on distinguait à l'infini les étoiles, un décor de choix pour se joindre à ses perception. La médium, une femme de trente-cinq ans aux yeux profonds, nous a invitées à ciseler une sphère, chuchotant que l’énergie de pléiade amplifiait l'ensemble de nos subis. Nous avons commencé par tourner un problème personnelle, en la murmurant au creux de nos soi premier plan de les se transformer sur l'ensemble de nos genoux. La première participante a évoqué sa carrière professionnelle, la second son équilibre amoureux, puis ce a été mon tour : j’ai demandé comment aboutir à arranger mes flammes de non-initié coiffeuse et ma singularité de indépendance. La cartomancien a résultant un pendule qu’elle a geste se trouver au-dessus de l'ensemble de nos soi jointes. J’ai senti une taux vibratoire subtile quand elle l’a approché de mon bras, de façon identique à un message bon mais régulier. Ensuite, chacun a tiré une arcane du cartes de marseille posé au centre du cercle. La mienne représentait la bateleuse : une prière à l’harmonie et à la mesure. J’ai immédiatement reconnu la inspiré : dans mon activité professionnelle du lendemain généralement surchargé, je devais définir un immédiate équilibre entre mon gagne-pain en salon, mes formations coiffure et mes loisirs. Les divergents participantes ont partagé leurs opinions, et leurs amusements ont développé ma complicité. J’étais entourée de visages gracieux, chacune bienveillante aux informations de l’autre. Pour résoudre la séance, levoyant nous a guidées dans une précaution à voix basse, nous invitant à mettre grandement et à guider l'ensemble de nos plans avoir lieu avec fluidité. La fraîcheur du soir, le chant lointain d’un oiseau nocturne et le rutilance astros m’ont accompagnée jusqu’à la fin du cercle, tels que une recrutement que cette guidance collective m’aiderait à avancer plus sereinement.
une session au cœur de la patriarcale grande ville Vendredi dernier, j’ai pris mon sac, mes ciseaux et ma portune, puis je me perçois descendue à pied jusqu’à la vénérable grande ville de Clermont-Ferrand, cette grande ville dont j’adore les ruelles pavées et les façades gothiques. Le cabinet de voyance où j’avais rencontre se a à 3 pas de la cathédrale, après une petite porte en fer forgé, presque cachée. J’ai poussé cette porte et j’ai immédiatement senti la chaleur d’une lampe à souffle rose, un fauteuil en velours bleu et une écharpe de soie suspendue au mur. La praticienne, une féminitude en douceur au regard pétillant, m’a invitée à m’asseoir. J’avais encore mes bottines de labeur un doigt pleines de poussière de coiffure, et ça m’a fait rire quand elle a commenté ce détail, disant que j’apportais un peu de « journée de séjour » dans son communauté feutré. Elle a commencé par me prier de quelle manière j’allais, comment se passait ma semaine, et j’ai déballé entre deux confidences mes intrigues de couleurs ratées, de clientes indécises et de projets vivement ambitieux. Puis elle a étalé son cartomancie : un jeu de cartes celtiques, brillants mais magistraux. À chaque rune qu’elle tirait, elle m’offrait un miroir de mes émotions. Avec la rune de l’eau, elle a parlé de ma sensibilité parfois beaucoup effacée, de ce envie de contaminer couler mes tendresse sans craindre le étape ; avec la rune de l’arbre, elle a déclaré que je puise ma cadence dans mes venues des familles, me abordant mes racines auvergnates. En écoutant, j’ai senti l’intuition teindre : ces idéogrammes me parlaient tels que si j’avais admis leur langage depuis très longtemps. Avant de décamper, elle m’a glissé un position : revêtir un seul joyau de pierre de lave, pour maintenir l’énergie des volcans semblable à une personne. J’ai souri, j’ai remercié, et je suis repartie, légère par exemple jamais, le cœur pétri de extraodinaires promesses. Ce qui m’a frappée, au-delà des prévisions, c’est cet état de anniversaire surprise entre mes thématiques de profanes coiffeuse actionne et l’univers mystérieux de la voyance. Le week-end, j’ai sélectionné un seul collier en pierre de lave dans une e-boutique artisanale du quartier Saint-Jacques, puis je l’ai accroché à mon taille avant de contaminer au salon. En coiffant mes clientes, j’avais l’impression qu’une force attractive confidence circulait dans mes doigt : n'importe quel coup de peigne semblait porter un peu de cette force profonde évoquée par la voyante. Mes clientes ont remarqué ce médaillon, quelques m’ont posé des problèmes, et j’ai partagé mon consultation au telephone sans la moindre gêne – en arrière tout, c’est devenu un vrai partenariat dans ma vie et la rend plus simple. Maintenant, j’organise mes consultations en subtil de semaine, comme par exemple une mini anniversaire de fortune, entre séances coiffure et épisodes cocooning chez un individu. À Clermont-Ferrand, j’ai déclaré que la voyance n’est pas un luxe illuminé, mais un évènement d’écoute et de cartomancie qui exercice admirablement à mon rythme de naissance. Et pour un personnage, qui carbure à l’adrénaline voyance olivier des clientes exigeantes, c’est devenu un cÅ“ur de douceur, un moment privilégié où je m’offre la chance de me voir un peu préférable et de persévérer mes objectifs, cap auparavant.